Comment bien choisir un nom de domaine alors qu’il y a de nombreuses problématiques de référencement, de visibilité, de communication, de disponibilité qui se posent ?
Il est très important en de nombreux points de bien choisir son nom de domaine. On ne choisira pas un nom de domaine de la même manière selon qui on est et ce qu’on veut faire.
Sur cet article, je vais vous parler de l’importance de bien choisir son nom de domaine.
Cet article est un peu (trop) long, alors pour ceux qui ont la flemme de lire, voici un résumé qui présente les points clés à garder à l’esprit lors de votre recherche de nom de domaine.
- Un nom de domaine doit être court (3 syllabes, 4 grand max),
- facile à retenir (le mieux est de ne pas avoir besoin de l’épeler),
- il ne doit pas correspondre à un nom de marque déposée,
- il doit être libre sous plusieurs extensions,
- il ne doit pas contenir de tirets, de chiffres, ou de caractères spéciaux (encore que ceci ne soit qu’une appréciation personnelle),
- il doit être unique, refléter votre entreprise, et vous différencier de vos concurrents.
Voilà pour le principal.
Sommaire
Le nom de domaine, c’est tout un domaine
Et un domaine qui me passionne donc je vous en parlerai peut-être souvent sur ce blog.
On va donc commencer par le début…
C’est quoi un nom de domaine ?
Le nom de domaine est très important puisque c’est lui que vous allez communiquer pour indiquer l’adresse de votre site.
L’adresse, c’est un mot important à retenir ; le nom de domaine, c’est l’adresse de votre site internet, et des adresses, il y en a de plus prestigieuses et plus visibles que d’autres.
Un nom de domaine est composé d’un (ou plusieurs) mot(s) et d’une extension.
L’extension, c’est le .com ou .fr ou autres, il en existe des centaines, avec des valeurs de signification et de prestige différentes.
Tout projet web (et je dirais même tout projet d’entreprise) doit très tôt se concentrer activement à la recherche de ses noms de domaines. Je dis bien de ses noms de domaine car pour des raisons aussi stratégiques que défensives, il sera bien souvent recommandé d’acheter plusieurs noms de domaine : le nom de domaine principal (celui sur lequel votre site sera visible) et les noms de domaines annexes qui seront redirigés vers le nom de domaine principal.
Nom de code : ndd
Il y a des codes à respecter pour bien choisir un nom de domaine, et également des aspects juridiques, parfois différents selon les activités, à prendre en compte.
Attention par exemple à ne pas acheter un nom de domaine libre mais correspondant à un nom de marque déposée. On pourrait vous le réclamer rapidement, et vous n’auriez pas grand chose à dire pour votre défense.
Attention également dans le cadre des certaines professions libérales, le nom de domaine ne doit pas comporter des mots clés qui feraient de l’ombre à vos confrères (exemple : avocat-divorce ou avocat-paris).
Nom d’un domaine !! Ils sont tous pris !
Evidemment, aujourd’hui il ne suffit plus d’avoir une bonne idée de nom pour enregistrer un nom de domaine.
Et oui ! Ça fait même longtemps que tous les bons noms de domaine sont déjà pris, que ce soit les noms génériques, les noms courts, les noms à forte signification, ou même les combinaisons de mots clés recherchés, et ce quelque soit l’extension.
Si tous les bons noms de domaine sont déjà réservés, beaucoup sont en vente. Il existe en effet un second marché pour les noms de domaine. Si il faut parfois débourser de grosses sommes pour s’acheter un beau nom de domaine, ça peut valoir le coup.
Le second marché des noms de domaine
Si vous montez une activité de pose de fenêtres, vous ne trouverez pas le domaine fenetres.com, ni .fr, ni même .net ou .info d’ailleurs. Vous le trouverez certainement sous d’autres extensions (fenetres.me par exemple et encore ce n’est pas sûr – ah si je viens de vérifier), mais trouvez-vous que ça fasse sérieux ? Moi je ne trouve pas ça terrible. Le message que j’adresse en communiquant l’adresse fenetre.me est :
« Bah oui… le .com était déjà pris. »
C’est dommage car les avantages d’un nom de domaine générique ou à forte signification permettent non seulement de renforcer considérablement votre crédibilité sur le marché de votre secteur, mais il vous économise en plus un gros investissement en communication, et ce pour plusieurs raisons :
- ces noms de domaine génériques bénéficient d’un trafic naturel,
- ces noms de domaine se retiennent facilement,
- ces noms de domaine apportent prestige et crédibilité à votre entreprise.
Je ne comprends pas les sites qui lancent des campagnes radio pendant plusieurs semaines en répétant :
« Rendez vous sur carton avec un s tiret pas tiret cher avec un s point com »
Non mais sérieusement vous ne trouvez pas ça ridicule ?
Au lieu de payer des campagnes publicitaires éphémères et coûteuses à retombées aléatoires, l’annonceur pourrait offrir à son entreprise le nom de domaine carton.com ou carton.fr. D’autant plus que, une fois la campagne publicitaire passée, les retombées de l’investissement communication ont intérêt à ne pas être en carton, sinon c’est de l’argent jeté par las fenêtres. 😉
Consacrer l’investissement d’une campagne publicitaire à l’achat d’un nom de domaine de qualité, c’est :
- primo : un gage de prestige et de crédibilité pour votre entreprise,
- secundo : une augmentation de votre trafic et de votre pertinence,
- et tertio : un investissement qui s’inscrit à l’actif de votre bilan.
Et un tel nom de domaine n’est accessible que sur le second marché.
Ce n’est pas pour rien que Toys’R Us a acheté le nom de domaine toys.com 5 millions de dollars (!) pour simplement le rediriger sur son nom de domaine toysrus.com. L’idée c’est bien de dire :
« Hey les gars, cherchez pas, les jouets, c’est nous – toys are us quoi »
Bien sûr, ce ne sont pas toutes les entreprises qui peuvent se permettre l’achat d’un nom de domaine sur le second marché.
Cependant, quand les noms de domaine ne sont pas aux enchères sur les sites d’achat-vente de noms de domaine, les prix sont négociables, et on peut parfois faire de bonnes affaires.
Quand le nom de domaine n’est pas à vendre
Il arrive parfois que certains noms de domaine soient déjà réservés, mais qu’il n’y ait aucun site dessus, et que le domaine ne soit pas à vendre sur les plateformes du second marché des noms de domaine. Dans ce cas là, vous pouvez effectuer une recherche Whois pour connaître les coordonnées de contact du propriétaire. A vous de le contacter et d’être subtil dans votre proposition de rachat.
Il arrive aussi parfois que le propriétaire soit anonyme. Dans ces cas là, la solution peut-être de passer par un courtier, mais bon ça fait des frais supplémentaires.
Il y a quelques années, je voulais absolument me procurer un nom de domaine générique sous l’extension .fr pour un de mes sites web. Le domaine était réservé depuis de plusieurs années, il n’était pas à vendre sur les marketplace consacrées aux noms de domaine, et son propriétaire était anonyme dans le Whois.
Voilà comment je m’y suis pris : sur le site de l’afnic, il y a un formulaire qui permet de contacter un propriétaire anonyme de nom de domaine en .fr pour résoudre d’éventuels litiges. J’ai utilisé ce formulaire pour faire une proposition de rachat de son nom de domaine. Je suis resté sans réponse, mais chaque semaine je le relançais en utilisant le formulaire. Il a fini par me répondre au bout d’un mois, et après quelques jours de négociation l’affaire était dans le sac et nous avons démarré la procédure de transfert de propriété du nom de domaine.
Ce qu’il faut retenir de cette anecdote, c’est que tant qu’un nom de domaine n’est pas chez un utilisateur final, il y a possibilité de l’acheter.
En revanche, le prix de rachat sera bien souvent plus de 100(0) fois plus élevé que le coût d’enregistrement.
Alors comment choisir son nom de domaine lorsqu’on n’a pas de budget et que le seul choix, c’est l’enregistrement ?
Quelle(s) extension(s) choisir pour un nom de domaine ?
Le mieux est d’opter pour le .com, et de réserver plusieurs extensions dans une perspective défensive (.fr – pour un site en France -, .org, .net, .info au minimum). En effet, il est important de protéger votre nom de domaine, si vous achetez uniquement le .com et que quelqu’un s’installe sur le .net, vous risquez de voir une partie de vos clients atterrir sur le mauvais site lorsqu’ils chercheront votre nom.
Le plus embêtant serait même qu’une personne mal attentionnée, profite de votre notoriété pour capter votre trafic (ça s’appelle le cybersquatting), ou pire encore pour installer un contenu gênant pour votre activité sur votre nom sous une autre extension dans le but que vous vous sentiez obligé de le racheter. Evidemment, il y a des solutions juridiques, mais ça vaut peut-être le coup de s’éviter des procédures longues et coûteuses.
C’est pourquoi, lorsqu’on est aux prémices de la création de son activité, je recommande de choisir son nom de marque, sa dénomination commerciale, en fonction de sa capacité à se procurer les noms de domaine correspondants sous plusieurs extensions.
La semaine dernière, j’ai une cliente qui était excédée de voir son site en .fr arrivé derrière le .com (qu’elle n’a pas) sur la requête exacte de son nom de domaine. Ce n’est pas très grave car les deux boites n’ont pas du tout la même activité, mais beaucoup de ses clients tombent sur le .com avant de faire demi-tour pour rechercher son site. Typiquement, c’est le genre de choses qui ne serait pas arrivé si elle avait opté pour un autre nom de domaine, ou si elle avait acheté son nom de domaine sous les extensions les plus importantes dés le départ.
Les autres extensions
Les autres extensions comme .me, .co, .biz, ne sont pas très intéressantes car comme je l’expliquais un peu plus haut le message que l’on adresse est « le .com était déjà pris ». En revanche, dans certains cas, il y a des extensions moins utilisées qui peuvent être intéressantes pour votre activité.
Les jeux de noms
Les extensions chelou type .ws, .cc, .cz… ce n’est pas terrible on est d’accord, donc on évite.
Par contre un truc pas mal (enfin… que j’aime bien) : c’est le jeu de mot entre le nom et l’extension. L’exemple parfait, c’est scoop.it. Certaines extensions (comme .it, .me, .es) sont propices à créer des jeux de mot cool entre le domaine et l’extension. On peut même jouer à ce jeu là en créant un sous domaine (del.icio.us).
Cela dit ce type de noms de domaine est surtout valable pour des services en ligne, ou des SAAS. D’autres entreprises auraient plus du mal à communiquer.
Les nouvelles extensions .web .shop .site .paris etc
D’ici à 2015, de nouvelles extensions vont arriver sur le marché, de très nombreuses nouvelles extensions. Une quantité affolante de nouveaux bons noms vont être disponibles.
Plusieurs questions se posent :
- Auront-elles du succès auprès des acheteurs ?
- Auront-elles la même crédibilité qu’un .com en terme de SEO ?
- Auront-elles la même crédibilité auprès des internautes ?
Sur le succès de ces extensions, on ne peut que spéculer (d’ailleurs, il y en a qui vont spéculer sur ces extensions).
Selon les hébergeurs, c’est bien sûr une révolution qui est en marche (évidemment ils ont tout intérêt à vendre du nom sous ces extensions), mais selon moi ça ne va pas changer grand chose.
D’abord, quelles sont ces nouvelles extensions ? Il y en a des tonnes sur quatre thématiques :
- les marques,
- les génériques,
- les communautés,
- les géographiques.
Certaines de ces extensions seront certainement de bons crus comme le .web ou le .shop, mais elles n’auront jamais la valeur d’un .com.
Ce n’est pas la première fois que de nouvelles extensions arrivent sur le marché, et bien souvent elles sont sujettes à spéculation mais au final… On en est toujours au .com et aux extensions de second niveau (.fr, .de, .be, .co.uk…)
Lorsque le .mobi est sorti, c’était censé être « the » extension, et au final beaucoup se sont cassés les dents. Aujourd’hui, le .mobi… quelqu’un s’en soucie ?
Il est très certainement possible de trouver de bons petits jeux de mot à faire. Mais encore une fois, ne croyez pas qu’à l’ouverture tout sera libre… Ces extensions étaient ouvertes à la réservation avant même qu’elles ne soient validées par l’ICANN, en 2011… Donc ne vous attendez pas à trouver des noms libre à 9 euros du type referencement.web 😉
Les noms de domaine brandable
Le nom de domaine « brandable » est composé d’un terme qui a un fort potentiel en image de marque. Il doit se retenir facilement, tant à l’écoute que visuellement, et avoir un fort potentiel de développement tant sur le plan marketing que commercial. Il doit également ne pas correspondre à une marque déposée, mais ça, c’est le cas pour n’importe quel nom de domaine comme on l’a vu.
Il ne doit pas dépasser trois syllabes (quatre pourquoi pas si vous en tenez un vraiment bon).
Son (gros) avantage ? C’est que vous pouvez l’inventer ! Il y aura toujours des noms de domaine brandables libres, même sous l’extension .com ; c’est à vous de faire preuve d’imagination, de réflexion, mais pas trop quand même car il faut que cela reste accessible à tout le monde (évitez le jeu de mot que vous êtes seul à comprendre si vous voyez ce que je veux dire…)
Ce sera à vous de donner le sens que vous souhaitez à votre nom de domaine par la suite (grâce à une communication originale ou à un slogan judicieux). Évitez les termes génériques avec des fautes d’orthographe, même s’ils sont libres. Vous n’allez pas bâtir votre marque sur une faute quand même…
Il y a quelques années, j’avais créé un site sur les collections et j’avais acheté le nom de domaine kolexion.com (que je traîne toujours d’ailleurs). Heureusement, ce n’est pas sur ce nom que j’ai fait mon site ! Vous m’imaginez en train d’épeler l’adresse de mon site ? Non, c’est hors de question et c’est une chose que vous devez cherchez à éviter.
Évitez aussi les accents ou les caractères spéciaux ; évitez aussi les chiffres.
Noms de domaine et problématique du tiret
Le(s) tiret(s) dans un nom de domaine, bon ou pas bon ? On m’a encore posé la question récemment :
« D’après toi bonsplansmachin.com je mets des tirets ou pas ? C’est quoi le mieux pour le référencement ? »
Il existe différentes écoles, différents avis, je vais vous donner le mien – je ne dis pas que c’est le bon – vous en faites ce que vous voulez.
Généralement le tiret est utilisé pour distinguer les différents mots qui composent un nom de domaine. Certains disent que séparer les mots par un tiret facilite la compréhension des mots clés du nom de domaine par les robots d’indexation.
Perso, je me suis toujours dit que les robots étaient depuis longtemps assez intelligents pour savoir aussi bien lire bonsplansmachin que bons-plans-machin.
C’est surtout pour l’œil humain que la lecture est plus simple, en effet le tiret joue alors le rôle d’espace entre les mots et facilite la lecture du nom de domaine.
Cela dit, doit-on choisir un nom de domaine composé de plusieurs mots avec ou sans tirets ?
Evidemment, dans le cas d’un nom de domaine composé de plus de deux ou trois mots, le tiret est le bienvenu, mais il faudra aussi acheter le nom de domaine sans le(s) tiret(s), règle pas forcément applicable à l’inverse.
Aussi, il arrive que la combinaison de deux ou trois mots rende la lecture très difficile, c’est le cas lorsque plusieurs lettres identiques se suivent (businesssuper) ou lorsque l’assemblage des mots forme un autre mot bizarre (estcehaut).
Personnellement, je ne recommande ni l’emploi du tiret, ni l’emploi de plusieurs mots.
Mieux vaut trouver un nom pour lequel vous n’avez pas besoin d’utiliser le tiret. Rappelez-vous : assez court, facile à prononcer, facile à retenir, qu’on n’a pas besoin d’épeler. Et le tiret est souvent anti-tout-ça.
De plus, il faut faire attention à ces noms de domaine à tiret(s), particulièrement lorsqu’il y en a plusieurs car les moteurs de recherche s’en méfient.
En effet, ils ont souvent été utilisés pour spammer les SERPs (pages de résultats de recherche). En utilisant des combinaisons de plusieurs mots clés, on pouvait bien positionner des sites sur les requêtes correspondantes sans pour autant offrir le contenu le plus pertinent.
Si je prends l’exemple de meubles-design-discount-pas-chers.com, non seulement il y a de grandes chances qu’il soit libre, mais en plus je devrais pouvoir positionner mon site sur ces mots clés assez facilement. Du moins je pouvais car aujourd’hui, ce type de noms de domaine est dans le collimateur des moteurs de recherche, mais également des utilisateurs qui ont été abusés depuis de longues années avec ce type de noms.
Donc à éviter. Pour info, on appelle ce type de noms de domaine des EMD (Exact Match Domains).
Nom de domaine et SEO
Si pendant longtemps, la qualité d’un nom de domaine était directement liée au référencement naturel d’un site, c’est de moins en moins le cas.
En effet, les noms de domaine qui utilisent des (combinaisons de) mots clés génériques (les EMD donc) ont longtemps été utilisés pour créer des MFAs (on appelle MFA un site Made For Adsense, c’est à dire créé pour accueillir des publicités).
Les domaineurs (domaining : activité d’achat-vente de noms de domaine) ont longtemps utilisé ce principe pour rentabiliser leurs noms de domaine en attendant de les vendre à un utilisateur final (lorsqu’on possède des centaines voire des milliers de noms de domaine, il faut bien trouver des moyens d’amortir les frais de renouvellement).
Cependant les MFAs, présentent rarement un intérêt pour le visiteur, et les moteurs de recherche l’ont bien compris. Si les MFAs profitaient d’un trafic naturel lié à l’importance du (ou des) mot(s) clé(s) qui les composent, c’est désormais de moins en moins le cas.
Ce qu’il faut retenir donc, c’est que le rôle du nom de domaine dans le référencement naturel d’un site a de moins en moins d’importance, même si encore aujourd’hui, un mot clé dans un nom de domaine aide les moteurs de recherche à bien comprendre l’objet de votre site, il joue un rôle moindre.
Ne choisissez donc surtout pas votre nom de domaine en fonction des moteurs de recherche, mais de votre cible, de votre communication, de votre entreprise, de votre secteur d’activité, et de vos concurrents.
Pfiou c’était looong
Oui je sais désolé, bravo et merci à vous si vous êtes arrivé jusque là 😉
Si vous avez des expériences, des anecdotes ou des conseils à propos des noms de domaine, n’hésitez pas à les partager en commentaire.
super article! bravo je crois que c’est bien complet!
j’ajouterais un point sur les différentes plateformes de récupération de domaine expiré qui permettent d’avoir des noms de domaine qui ont déjà du vécu et donc un beau passif SEO! valabel aussi bien pour les projets de linking SEO que pour monter un nouveau site web : ça permet de gagner des mois de référencement acharné!
sur les .com y a snapnames ou godaddy de pas mal et sur le .fr y a 4x domaining
donc le nom de domaine en lui meme en effet ne sert plus autant qu’avant au seo, GG a meme tendance à saquer des domaines qui veulent en faire trop « grand-choix-de-chaussures-pas-cheres.fr », par contre, le SEO lié au nom de domaine est très important et beaucoup de petites boites décident d’abandonner l’un de leur nom de domaine lors du renouvellement de celui-ci sans percuter qu’ils ont du linking entrant sur le nom, un Page Rank lié au domaine etc… (bref, tant pis car au final c’est du bonheur pour les webworkers de récupérer de tels noms de domaines!!!)
(du coup ça pourrait compléter ton paragraphe sur le second marché car en récupérant des domaines via du snapnames ou 4x ça coute bien moins cher qu’un rachat (pour quelques dizaines d’euros tu peux avoir du domaine de qualité! et t’as un listing complet des domaines qui arrivent à expiration que tu peux télécharger gratuitement avec les dates de libération)
Bonjour Nico,
Effectivement, j’ai oublié de parler du snapping de domaines alors que ça peut se révéler très intéressant. Non seulement il y a moyen de récupérer de beaux noms, mais comme tu le dis, des noms anciens et qui ont parfois déjà du backlink.
Reste à vérifier tout de même que les précédents propriétaires n’aient pas fait n’importe quoi avec leur nom de domaine, ainsi que la qualité des backlinks. Mais c’est la même chose lorsqu’on achète sur le second marché.
Merci pour ce commentaire très pertinent ! 🙂
[…] faite attention que votre nom de domaine sans les www soit bien redirigé vers le nom de domaine avec les 3w (ou vice-versa), sinon encore […]